
Toutes les réponses sont en nous.
« Rien ne part jamais avant qu’il ne nous enseigne ce que nous devons connaître ». Pema Chödrön
Toutes les réponses sont en nous.
« Rien ne part jamais avant qu’il ne nous enseigne ce que nous devons connaître ». Pema Chödrön
Revoir nos croyances qui nous empêchent de vivre bien.
« L’important n’est pas de vivre mais de vivre bien ». Socrates
Aujourd’hui est-ce que vous êtes en train de perdre pied dans une situation donnée, d’avoir la sensation que vous vous noyez ?
De temps à autre, il est important de revoir nos croyances surtout si elles sont plutôt limitantes qu’aidantes. Sont-elles toujours à jour ? Le monde évolue rapidement et donc nous devons nous adapter également, surtout nos croyances. Une pratique saine à mon avis.
‘Les espèces qui survivent ne sont pas les espèces les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s’adaptent le mieux aux changements’. Darwin Charles
Grenouilles de bénitier …..s’abstenir !
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….ou LE SYNDROME DE LA BANDELETTE ILIO-TIBIALE ?
Ce syndrome est une inflammation du muscle tenseur du fascia lata (fascia fémoral profond). Le muscle TFL est une longue bandelette tendineuse qui part de la hanche.
La terminologie latine utilisée pour décrire les muscles du corps : le mot « tenseur » vient du verbe tendre, qui signifie soumettre à une tension. Le mot « fascia » signifie bande et le mot « lata » signifie étendre.
QUI SONT LES PLUS TOUCHÉS PAR CETTE PATHOLOGIE ?
25 % de sportifs/ 1 sur 4 sportifs souffrent de cette pathologie du genou. Surtout, cette pathologie est typique dans le milieu de la course à pied et de la course à pied et cyclistes.
Le douleur sur le côté extérieur du genou.
Professeur de psychologie à l’Université du Hertfordshire,
Le docteur Richard Wiseman, auteur du livre « facteur chance », et professeur de psychologie à l’Université du Hertfordshire, a réuni 400 personnes qui ont répondu à une annonce de journal. II a mené cette étude qui a duré dix ans. II a tenté de comprendre l’état d’esprit et le comportement de plusieurs centaines de personnes qui s’identifiaient soit comme très chanceuses ou soit comme très malchanceuses.
Une question de comportement et de réflexion.
Selon lui, il existe 4 grands principes psychologiques qui séparent les personnes chanceuses des personnes malchanceuses.
1) Les personnes chanceuses sont plus OUVERTES à de nouvelles éventualités, toujours à l’affût de nouvelles occasions. Une fois qu’elles les ont repérées, elles savent comment en tirer le meilleur parti. Elles sont organisées et elles optimisent au mieux leur temps disponible.
2) Elles ont tendance à ÊTRE OPTIMISTES et elles abordent toutes les situations, même les événements les plus désagréables avec un esprit d’ouverture. Si des choses inattendues arrivent, les personnes chanceuses sont bien préparées pour y faire face. « Une prophétie qui se réalise, » a dit Dr Wiseman. « Le pessimiste voit des difficultés à chaque occasion. L’optimiste voit une opportunité dans chaque difficulté ».
Faites confiance à votre intuition
4) Plus important encore, les personnes chanceuses sont plus RÉSILIENTES. Elles ne semblent pas prendre en compte les choses négatives qui leur arrivent. Leur mémoire est « sélective » et surtout elles ne s’y identifient pas. Elles savent comment transformer la « malchance » en bonne fortune.
Convertir la malchance en bonne fortune.
Selon Richard Wiseman, il est possible pour les personnes malchanceuses d’apprendre à se comporter comme des personnes chanceuses.
Il affirme que la « chance » et la « malchance » chroniques n’existent pas : c’est juste que certaines personnes repèrent mieux que d’autres les circonstances opportunes et les saisissent.
Les « malchanceux » ont tendance à être plus anxieux, ce qui est associé à la difficulté de concentration .
Dans l’ensemble, être chanceux dépend de notre comportement et de nos pensées.
Déjà en 2015, les Français voyaient la vie en noir. Selon un sondage BVA pour Le Point la France était, juste devant l’Italie, le pays dans lequel on trouvait le moins d’optimistes pour 2015. Seuls 17% des Français pensaient que l’année à venir serait meilleure que 2014. C’est un point de moins qu’en 2013. Ce n’était même pas l’année de COVID !
Ce qui va mal ce n’est pas le monde, c’est notre manière de le regarder Henry Miller Romancier anglais
COMMENT RESTER POSITIF DANS UN MONDE COMPLIQUÉ ?
Développer vos capacités d’adaptation et de la résilience.
Beaux proverbes
Un peu d’humour.