
Ce sont les gestes qui comptent, pas les paroles.
Hier, à l’occasion d’un déjeuner avec des connaissances, une conversation a dérapé vers un sujet sensible : la religion. Comme souvent, les avis fusent, les critiques se multiplient, et les jugements tombent avec une facilité déconcertante.
Cette fois, c’est Mère Teresa qui était au cœur du débat. On m’a raconté des histoires noires, accusatrices, remettant en question son engagement auprès des pauvres. On disait qu’elle ne donnait pas de médicaments, qu’elle envoyait l’argent au Vatican, qu’elle glorifiait la souffrance.
Je n’avais jamais entendu tout cela. Et j’ai ressenti un mélange de surprise, de tristesse et d’agacement.
Alors j’ai dit, simplement :
« Elle n’était peut-être pas parfaite, mais au moins elle était là. Présente. Engagée. Là où tant d’autres ont choisi de détourner le regard. »
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