LES RÊVEURS D’ÉLITE – LA FORCE MENTALE

les rêveurs d’élite, les commandos de penseurs

L’autre jour, j’ai regardé une vidéo sur YouTube, dans laquelle l’écrivain, Didier Van Cauwelaert narre une histoire sur les rêveurs d’élite, les commandos de penseurs entraînés à la méditation optimiste.

C’était la première fois que j’entendais cette histoire impressionnante que j’ai eu envie de la partager sur ce blog !

Ces résultats sont rapportés, analysés et modélisés dans une revue académique internationale, très sérieuse et officielle de l’ONU, intitulée « Le journal de résolution des conflits ». Elle est également contée dans son livre « La bienveillance est une arme absolue (Éditions de l’Observatoire) ».

Cet événement a lieu pendant la guerre, lors du conflit israélo-libanais dans les années 80. Un projet nommé « Projet international pour la paix au Moyen-Orient”, est lancé par les universitaires dans lequel ils décident d’utiliser des rêveurs d’élites, personnes entraînées à envoyer des pensées positives.

Ils voulaient utiliser leur force de pensée et les emmener sur les lieux ravagés par les conflits. Ils ne voulaient pas que ces rêveurs d’élites se concentrent et prient pour que la guerre s’arrête, mais qu’ils se réjouissent que la paix soit déjà revenue.

Nos pensées intérieures pouvaient commander, transformer la matière, notre réalité.

Ça touchait un peu la notion de la physique quantique, voir si l’esprit, nos pensées intérieures pouvaient commander, transformer la matière, notre réalité.

une espèce de commando bisounours »,


Bien que tout le monde ait entendu parler de Casques bleus qui sont les militaires de forces de l’ONU pour maintenir la paix dans des pays, ces rêveurs d’élite étaient différents. Selon Didier Van Cauwelaert ces rêveurs d’élites étaient « une espèce de commando bisounours », que le Philosophe Jean-François Revel surnommait les « casques roses », dans l’une de ses publications.

une forme de méditation optimiste

Pendant 2 mois en 1983, les rêveurs d’élites se sont dirigés sur ces lieux de conflit, entourés par les observateurs de l’ONU. Alors que ça canonnait partout, les casques roses, avec une forme de méditation optimiste, priaient pour se réjouir que la paix soit déjà revenue. Tout à coup les combats se sont arrêtés, partout où ils passaient. Cette étude a été nommée « le Maharishi Effect », par les scientifiques.

Selon Didier Van Cauwelaert, « la force mentale est telle qu’elle fabrique une espèce d’antidote à l’actualité, à l’événement, qui est en train de produire pour que les combats s’arrêtent ».

Les observateurs ont demandé aux belligérants qui se tiraient dessus 10 minutes auparavant « pourquoi avez-vous arrêté le combat ? », ce à quoi ils ont répondu « on ne sait pas, mais on sait qu’on s’est demandé, qu’est-ce qu’on faisait là. Pourquoi on tirait sur les gens qui sont des humains comme nous, on n’y arrivait plus ».
Selon les observateurs lui, il est très probable qu’une espèce de blocage se soit produit dans l’esprit des belligérants.

Comment expliquer ce phénomène ?


Comment expliquer ce phénomène ?
Dès que les “casques roses”, cessaient de ressentir la paix, les statistiques s’inversaient et reprenaient comme avant.

Didier Van Cauwelaert

À sa façon, Didier Van Cauwelaert tente d’expliquer cette puissance de la pensée. II dit que la pensée est fondée sur le déni de la réalité. Que si les « casques roses » reprenaient conscience qu’ils se canardaient, s’ils avaient un DOUTE, ils s’arrêtaient. Ces gens se concentrent sur la paix essentiellement.

Leur rêve du présent


Il fallait à la fois qu’ils construisent une autre version de l’événement présent assez fort pour qu’ils communiquent « leur rêve du présent ». Si ces rêveurs laissaient la réalité du présent, reprendre le contrôle de leur sens, voire aussi se mettait à douter de l’expérience, les effets positifs étaient ratés.

Selon l’écrivain, il est plus intéressant aujourd’hui de dresser les populations les unes contre les autres en matière d’industrielle, pour la vente d’armes, pour la reconstruction de bâtiments détruits, d’assurance…
La guerre génère plus de profit que de la paix. Pour les gouvernements, la guerre est rentable !

UNE AUTRE HISTOIRE SUR LA FORCE MENTALE

La fabrique de l’esprit.

Sophie CALLE, Histoires vraies : le drap 1993
« Ma grande tante s’appelait Valentine. Elle était née le 4 février 1888. A l’âge de quatre-vingt-seize ans elle sentit fatiguée. Mais elle se fixait un but : devenir centenaire. A l’agonie peu avant ses cent ans, elle revint à la vie pour demander : Combien de jours reste-t-il ? » II restait 6 jours. Elle a murmuré : « je tiendrai, je tiendrai. « Elle est morte le 4 février 1988. Pour son faire-part de décès, elle a choisi ce verset de la Bible : « Elle a fait ce qu’elle a pu ».

Avant de mourir elle avait brodé un drap à mes initiales. Je l’offre à mon ami Hervé, alors gravement malade, en souvenir de cette nuit, lointain déjà, où il avait refusé de partager mon lit ; Je l’invitai ainsi à dormir un peu avec moi. Et puis, j’aimais à croire qu’ayant été brodé par une femme devenue centenaire grâce à une volonté farouche, ce drap auréole de foi, lui transmettrait sa force ».

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