
Une occasion pour notre cerveau hyperconnecté, de faire une pause dans un monde tellement digital.
En 2015 une étude sur 3000 enfants, âgés de 6 à 9 ans de Barcelone, suivi à l’aide de coordonnées GPS et d’images satellites pendant 15 mois, a été publié dans la revue américaine « National Academy of Sciences » (PNAS).
Les experts ont mesuré l’exposition des enfants aux paysages naturels. Les enfants qui étaient les plus exposés à la nature, a) avaient une meilleure « mémoire de travail , » (une mémoire à court terme permettant de stocker et de manipuler temporairement des informations afin de réaliser une tâche particulière), une fonction clé de l’apprentissage et b) une meilleure capacité d’attention, essentielle pour se concentrer.

La verdure joue un rôle important dans le développement du cerveau et ’améliore ses capacités cognitives
Ils ont découvert que l’exposition à la verdure joue un rôle important dans le développement du cerveau et améliore ses capacités cognitives. C’est une occasion pour notre cerveau hyperconnecté, de faire une pause dans un monde tellement digital.
LES BIENFAITS D’UNE PROMENADE DANS LA FORÊT
Une longue promenade dans la nature nous permet : –

Oser le tree hugging !
LES PRÉCAUTIONS S’IMPOSENT

Une allergie est une manifestation immédiate et parfois violente de la peau ou le système respiratoire
Outre les allergies aux pollens d’arbres, des réactions cutanées au contact de la sève ou des certaines mousses sont possibles, mais rares. On peut aussi rencontrer des espèces animales qui piquent ou sont urticantes. Mieux vaut porter pantalon et manches longues et observer l’endroit où on s’apprête à poser les mains.
CROISER LE REGARD DE L’ANIMAL

L’antidote idéal pour réduire le cortisol (hormone du stress) est l’ocytocine.
Les vacances sont bien l’occasion de se promener dans la forêt, la nature. Promenez-vous dans la forêt et peut-être que vous aurez l’occasion de croiser le regard d’un animal.
À la suite de ce moment magique, un regard plein d’amour peut-être où l’homme se perd dans le regard d’un animal, les chercheurs ont noté que le taux de l’ocytocine (l’hormone de l’attachement) augmente dans le sang de l’homme et également dans le sang de l’animal, entre deux espèces différentes.